您说您没有攻击俱乐部,因为您那是在“捍卫它”,是在攻击那些“令它蒙羞的糊涂虫”;您招贴布告,用一切手段向公众证明,俱乐部的所有讨论都“没有尊严”也“没有用处”,只是“沉溺于无休无止的告发和惹人憎恶的人身攻击”。可是您啊,佩蒂翁,您差不多两年以来要六个月才踏进俱乐部一次,您是用了什么望远镜才望见了您所描述的这种丑恶的场景啊?难不成是用了布里索的那一副?但他的望远镜能看到的地方也不比您的多,尤其是自从他被众口一词地打发走了。
Vous dites que vous n'avez point attaqué la société, parce que c'est la défendre, d'attaquer les brouillons qui la déshonorent ; de prouver au public, par affiches, et de toutes les manières, que toutes ses délibérations sont sans dignité, sans utilité ; qu'elles ne portent que sur des dénonciations éternelles et des personnalités dégoûtantes. Mais vous, Pétion, qui n'y avez jamais mis les pieds depuis près de deux ans, une fois en six mois, avec quelles lunettes avez-vous apperçu les scènes hideuses que vous tracez ? Est-ce avec celles de Brissot, qui n'est pas plus à portée de les appercevoir que vous, sur-tout depuis qu'il en a été éconduit d'une voix unanime ?
Maximilien Robespierre
1792年12月21日,第二次答复杰罗姆·佩蒂翁的第二次演讲